Salon du Livre Interculturel de Compiègne

Quoi de mieux pour nous aider à ne pas nous enfermer dans nos certitudes, à dissiper nos doutes et nos craintes que de savoir ce que pensent les autres et s’en inspirer. Pour ce faire, quoi de plus simple que de plonger dans l’univers de la littérature, reflet de la pensée de l’autre, pour nous apprendre à mieux le connaitre, s’inspirer de ses dires, être ou ne pas être d’accord avec ses thèses, son analyse, sa pratique, sa façon d’être etc.

Quoi de mieux que la lecture pour nous permettre d’en savoir plus, de confronter les arguments et les interprétations afin de forger notre esprit critique mais aussi notre identité, bien assoir nos convictions, élargir l’horizon de notre vision du monde, se frayer la voie large vers la conquête de la culture.

 

Quoi de plus logique pour Kantara, association culturelle, qui prône l’échange culturel établissant un pont (signification de son nom «kantara») entre les hommes de tout horizon, que d’organiser un salon pour fêter le livre  » Salon de Livre Interculturel de Compiègne -SLIC-« , ce creuset de savoir, vecteur de la pensée humaine et véhicule de la culture dont le bon usage peut rapprocher bien des cultures et unir bien des peuples.

 

Antoine GALAND

Kantara, fière de son appartenance au territoire Picard, aime rappeler que l’enfant du pays, Antoine GALLAND, natif de ROLLOT  ( à Rollot à 25 km de Compiègne –  à Paris) est un orientaliste françaisAntoine GALLAND est formé au collège de Noyon, a enseigné entre autre l’arabe au collège des lecteurs royaux. Cet orientaliste convaincu, spécialiste des manuscrits anciens, passionné de la culture Orientale, a établi ce fameux pont entre Orient et Occident et être le premier traducteur de la version arabe des contes Les Mille et une nuits ( Aladin, Ali baba…) dont les treize volumes furent la base des traductions dans d’autres langues occidentales.